Ce que les mots ne peuvent exprimer, peut-être ma main, mue par je ne sais quel ordre inconnu, quelle origine, pourra-t-elle traduire l'émotion qui m'envahit, me submerge. Ainsi part-elle, laissons-la parler. Allons donc jusqu'à l'abandon et au non savoir. Je laisse sourdre en moi les promesses des commencements... Tout est là, bien simplement. Là où commencra l'oeuvre, je commencerai moi-meme. Je reste aux aguets... C'est pour demain.
